Photo sur planche de bois « Lueur d’espoir – coquelicot » 20 x 20 cm

Description

Une photo imprimée sur une planche de bois, 20 x 20 cm

Système d’accroche-cadre : ensemble de fixation pour bois *

Une belle impression de la photo sur un bois contreplaqué de 10 mm d’épaisseur

(* vous aurez besoin d’une vis ou d’un clou pour accrocher votre tableau.)

Lueur d’espoir, un cadre photo en bois clair naturel. Une fleur de coquelicot solitaire devient le symbole pour la protection de la nature. Une belle photo de proximité, avec des couleurs de printemps.  L’impression est faite sur un support contreplaqué, avec épaisseur de 10 mm.

Une petite planche à poser sur une étagère ou à accrocher au mur. Sur l’impression très détaillée, l’imprimeur a ajouté une finition de protection contre les empreintes. Nous avons ici une impression photo de haute qualité avec une belle touche artistique.

Photo sur planche de bois : « lueur d’espoir – coquelicot »

Pour moi, ce petit cadre m’inspire l’espoir. Nous devons nous rappeler qu’il y a toujours une lueur d’espoir, même quand les circonstances sont sombres. Puis il me fait aussi penser à l’instant présent. La vulnérabilité du coquelicot fait penser que chaque moment de notre vie compte. Effectivement, nous ne savons pas de quoi c’est fait le lendemain. Il ne faut pas y penser, il ne faut pas avoir peur. Alors ce cadre me rappelle, de bien vivre le moment présent.

Partant de ce fait, le coquelicot est un symbole de quiétude également. Pour réconforter une personne, nous pouvons l’offrir un bouquet de coquelicots. Ou dans ce cas, ce joli cadre photo en bois d’une « lueur coquelicot ».

Le coquelicot, ou bien le pavot annuel me font penser aussi au recommencement. Nous sommes dans un éternel renouvellement, comme les saisons de l’année. Nous vivons des cycles de vie. Comme toutes les fleurs, la graine pousse, elle fleurit et ensuite les fleurs fanent. Puis ça recommence, de plus en plus fort avec de plus en plus de beauté.

Une très belle phrase qui va bien avec ce cadre :

« Le noir fait chanter toutes les autres couleurs : si tu passais dans un champ de coquelicots, ils paraîtraient bien plus rouges. Et sous tes ailes d’ébène, au temps des moissons, l’or des blés scintillera plus fort encore. » (Grand corbeau, Béatrice Fontanel)