Description
Décoration photo en bois, 20 x 20 cm
Système d’accroche-cadre : ensemble de fixation pour bois *
La photo est imprimée sur du contreplaqué de 10 mm d’épaisseur
(* vous aurez besoin d’une vis ou d’un clou pour accrocher votre tableau.)
Tout d’abord, une décoration photo qui change, la photo en bois. Nous regardons dans le cœur du coquelicot, prise faite en macrophotographie. L’impression est faite sur un bois contreplaqué, d’une épaisseur de 10 mm.
Deuxièmement, nous retrouvons des détails précis de la photo, comme le pollen, apprécié par les abeilles, sur la planche de bois. Par-dessus de l’impression, l’imprimeur a ajouté une finition de protection contre les empreintes. Nous apercevons une impression de haute qualité.
Décoration photo en bois : avoir un cœur coquelicot
Tout le monde peut reconnaître les coquelicots dans les champs. Nous voyons un cœur noir entouré de pétales rouges. Ah les coquelicots et l’amour ! Pour la petite anecdote, à Forcalquier, dans les Alpes-de-Haute-Provence, proche de chez moi, un agriculteur a dessiné un cœur au milieu d’un champ de coquelicots. Si ce n’est pas de l’amour ça !
D’ailleurs, en France et en Europe, on parle des noces de coquelicot, au bout de 8 ans de mariage. Une très belle symbolique se retrouve ici : l’amour pur, quand deux personnes se trouvent et restent ensemble jusqu’à la fin de leur vie. Un peu de rêve dans ce monde perturbant !
Par ailleurs, il faut que je vous raconte une petite histoire, concernant de vieux rites. Si vous voulez savoir si votre compagne ou compagnon est fidèle, vous posez un pétale d’un coquelicot dans votre main. Vous donnez un coup de poing sur ce pétale. Quand vous entendez un claquement, vous êtes sûr. Votre amour est fidèle.
Ce petit tableau se combine très bien avec « Rouge lavande – Coquelicot ».
La phrase qui va bien avec le tableau :
« Je suis un cœur coquelicot, délicat, gourmand de poésie, gorgé d’un jus de tendresse. Je m’épanouis parmi les framboises qui se mirent aux perles de rosée, les cerises écoutant les rêves aux oreilles des enfants, les fraises sauvages blotties dans les bois dormants. » (Joli cœur, Valérie Mazeau)
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